La seule façon de produire des connaissances sur les autres nations et cultures, et j’ajouterais, sur soi-même, sans reproduire ou neutraliser les structures de domination et les déploiements de pouvoir, est une coopération scientifique qui seule peut permettre de sortir pas à pas des positions ethnocentriques par une remise en question mutuelle, ainsi que par l’élaboration de catégories (concepts) communes.
Ce n’est qu’ainsi que les attentes et les craintes de chacun pourront être prises en compte et qu’un savoir libéré de tout rapport de domination pourra être produit. Il est évident que cette entreprise est difficile. Mais il n’y a pas d’option (alternative) à cela.
Fondateur
Un réseau diversifié d’experts qui s’attaquent ensemble aux défis mondiaux
Research Fellow, Board Member
Project Manager/Centre Management
entre la faculté de médecine et le Centre National de Développement du Numérique Universitaire